Dans un dossier de presse qu’elle vient de publier, la Préfecture dresse un bilan du plan France relance dans le département, suite à la pandémie de COVID-19. «Un an après le lancement du plan de relance le 3 septembre 2020, le constat est clair : le rebond est là», annonce la préfète, Pascale Trimbach. La Meuse semble bien ne pas avoir manqué cette opportunité de développement, au vu des chiffres cités. Par exemple, 447 bonus écologiques et 351 primes à la conversion ont été accordés pour le verdissement du parc automobile, et plus de 1.000 dossiers validés pour la rénovation énergétique des logements (MaPrimeRénov’). Le déploiement du plan #1jeune1solution, qui vise à faciliter l’entrée des jeunes dans la vie professionnelle, s’est traduit par la signature de 109 contrats Parcours emploi compétence (PEC) et 94 contrats initiative emploi (CIE), 808 aides exceptionnelles aux recrutements d’apprentis, 614 aides à l’embauche de jeunes de moins de 26 ans, 479 entrées dans le dispositif Garantie jeunes et 1.002 entrées dans le dispositif Parcours contractualisé d’accompagnement vers l’emploi et l’autonomie (PCAEA).
Du côté des entreprises, France relance a permis d’accélérer de grands projets, dont celui de la Fromagerie Hutin à Dieue-sur-Meuse. Et sur le volet agriculture et forêts, il se traduit par 1,66 M€ de subventions à 55 agriculteurs dans le cadre du plan protéines végétales, et par un soutien de 62.376 € à la modernisation de l’abattoir de Belleville-sur-Meuse.
Concernant les collectivités, huit Projets alimentaires territoriaux (Pat), qui visent à relocaliser l’agriculture et l’alimentation dans les territoires, sont soutenus, pour un total de 452.499 €. À noter encore dans ce rapide tour d’horizon (non exhaustif), un soutien à la création d’une cuisine collective à la Maison familiale rurale de Commercy.
